Guide de voyage
La Guajira
Colombie
Situé à l’extrémité nord du continent sud américain, le désert de La Guajira est un mélange d’étendues sauvages, de mythes et de légendes. Explorer La Guajira c’est découvrir des paysages à couper le souffle et s’immerger dans la fascinante culture de son peuple indigène, les Wayuú. Ici pas de grand confort mais une véritable aventure qui régalera les plus audacieux.
Nous explorons la Colombie à la recherche des meilleures agences locales du pays, afin de créer un réseau fiable d’experts et d’obtenir des informations pertinentes et inédites pour chaque destination. Notre objectif ? Te permettre de tomber amoureux de la Colombie en toute simplicité.
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VISITER LA GUAJIRA ET SON DÉSERT
Pour prendre de bonnes décisions rapidement et facilement.
Généralités
Une nature fabuleuse en territoire Wayuú et promesse d’aventure.
Situé à l’extrémité nord est du pays sur la côte de la région Caraïbes, La Guajira est l’un des 32 départements de la Colombie.
La Guajira frontalière avec le Vénézuela, s’étend sur 20 848 km2, sa capitale est Riohacha et la deuxième municipalité est Uribia. Sur le plan écologique, La Guajira abrite une variété d’écosystèmes parmi lesquels prédomine le désert sous l’influence de la Sierra Nevada de Santa Marta, au sud ouest.
Traditionnellement La Guajira est découpée en 3 zones : Alta Guajira, Media Guajria et Baja Guajira.
La Guajira, département le plus pauvre du pays, est le berceau des Wayuú (”Guajiros”), le peuple amérindien le plus important de la Colombie et du Vénézuela, ils représentent 45% de la population du département qui compte un peu plus d’un million habitants. La Guajira abrite 3 parc nationaux.
On vient à La Guajira pour admirer un immense et sublime tableau fait d’étendues désertiques se jetant dans la mer turquoise et de merveilleux couchers de soleil. Des écosystèmes étonnants tels que ceux présent à La Macuira font le bonheur des amoureux de la nature et des ornithologues et les ethnologues en herbe seront fascinés par la culture des Wayuú, gardiens de La Guajira.
Avec ses vents réguliers, sa mer calme et ses paysages époustouflants, La Guajira est aussi le paradis des kitesurfers du monde entier.
Enfin, La Guajira est pour moi synonyme d’aventure dans un environnement étonnant aux conditions naturelles rudes et exigeantes.
Le climat de La Guajira est principalement aride, chaud et venteux toute l’année avec des taux d’humidité importants dans certains endroits. La température moyenne en journée est de 28°C et elle ne tombe que rarement en dessous de 20°C la nuit.
Les mois les plus chauds sont mi juillet à fin septembre
La saison des pluies dure d’octobre à novembre. Les fortes pluies rendent les chemins boueux et vite impraticables, ce n’est pas un bon moment pour s’aventurer dans La Guajira. Le mois de mai est aussi pluvieux.
Les vents constants rendent la pratique du kitesurf possible presque toute l’année—en octobre et novembre, les brises marines de l’après-midi cessent et le vent tombe.
D’un point de vue climatique, la période idéale pour visiter La Guajira va de décembre à avril et de juin à août, mais je te conseille d’éviter la haute saison, qui s’étend de la mi-décembre à la mi-janvier, la semaine sainte et les longs week-ends (jours fériés nationaux).
Le parc de Macuira ferme généralement d’août à novembre.
Pour découvrir le désert de La Guajira je te conseille de réserver un tour au départ de Riohacha. Un tour de 3 jours (2 nuits) te mènera à Cabo de La Vela et Punta Gallinas et un tour de 4 jours (3 nuits) te conduira jusqu’au parc national La Macuira en plus de ces deux destinations. Pour une logistique moins stressante, tu peux choisir de dormir à Riohacha avant ton excursion.
Tu peux aussi ajouter quelques jours de détente à Palomino (1h30 en bus au sud de Riohacha) où les jeun’s aiment se retrouver ou bien à Dibulla (1 heure en taxi depuis Riohacha), un village côtier plus tranquille et authentique.
© Tomplanmytrip
Visiter La Alta Guajira
La Alta Guajira, un endroit reculé et fabuleux en terre sacrée des Wayuú.
Oasis au milieu du désert, le Parc National de La Macuira est mon site préféré à La Guajira. Cette petite merveille de la Nature abrite une biodiversité floristique et faunistique étonnante. Des dunes immenses, des cascades insoupçonnées, prépare toi pour une aventure au pays des légendes Wayuú. La porte d’entrée du parc est le village de Nazareth.
A Cabo de La Vela la rencontre du désert avec la mer crée des paysages et des points de vue fabuleux (comme le fameux Pilón de Azucar) dans une explosion de jaunes et de bleus. L’endroit est particulièrement réputé pour ses fantastiques couchers de soleil (El Faro).
Avec ses vents réguliers et ses eaux paisibles toute l’année, ce village de pêcheur a aussi acquis une fameuse réputation parmi les kitesurfeurs du monde entier.
C’est ici, dans une nature austère et préservée que tu pourras immortaliser le symbolique point le plus septentrional de l’Amérique du Sud.
Punta Gallinas abrite aussi l’une des attractions naturelles les plus fascinantes de La Guajira, les dunes de Taroa qui tombent littéralement dans la mer des Caraïbes dans une atmosphère chaude et ventée. Crois moi, se laisser glisser en sandboard jusqu’à la mer depuis le sommet d’une dune est une expérience des plus grisantes.
Et bien d’autres surprises t’attendent 😉
La ranchería est l’hébergement traditionnel à La Guajira, ce terme désigne classiquement de minuscules et rustiques maisons où vivent les familles Wayuú. Certaines sont aménagées en auberges pour les touristes et proposent un hébergement rudimentaire pour la nuit (simple hamac, “chinchorro”, hamac plus spacieux typique de l’habitat Wayuú ou un lit simple).
Si tu veux enrichir ton voyage à La Guajira par une expérience culturelle immersive au sein de la communauté Wayuú, je te conseille de séjourner dans une ranchería Wayuú dont tu partageras le quotidien. Pêcher, aider à la préparation du déjeuner, tirer l’eau au puits, confectionner un “mochila” sac traditionnel, partager un plat typique, participer aux danses locales, écouter les anciens raconter leurs légendes et leurs rêves, avant de regagner ton hamac pour la nuit, j’ai adoré cette rencontre.
Tu peux contacter Jeanne pour cette expérience.
Les spots de Punta Gallinas sont les plus appréciés des kitesurfeurs en raison de ses conditions de vents parfaites (25-35 noeuds) et d’un cadre naturel de toute beauté. Punta Gallinas possède 3 sites : la lagune (près de Luz Mila), La Boquita (directement sous le vent de Luz Mila) et les dunes de Taroa. Ce dernier site est recommandé aux experts uniquement car les vagues peuvent être très puissantes.
Si es fan, tu peux réserver un tour de 5 jours durant lesquels tu surferas sur les meilleurs spots avec un instructeur expérimenté et bilingue. Transport, hébergement en chinchorro et repas sont inclus dans le forfait.
© Tomplanmytrip
Visiter La media Guajira
Des municipalités animées et de charmantes villes côtières.
Autrefois petit coin de mer paisible, Palomino est devenue une destination très fréquentée de la côte Caraïbes affichant une forte culture “hippie/backpacker”.
J’aime bien son ambiance décontractée propice aux échanges (surtout le week-end) et il y a de bons hôtels et de bons restaurants. Par contre la surfréquentation touristique a entraîné un développement urbain incontrôlé lourd de conséquences sur l’écologie du lieu. La plage qui n’est pas vraiment paradisiaque est soumise à une forte érosion. De plus la mer souvent agitée par de forts courants n’est guère idéale pour la baignade. Je te recommande la descente en tubing sur la rivière Palomino jusqu’à la mer.
Encore préservé du tourisme, le petit village de pêcheurs de Dibulla offre une alternative à Palomino bien plus paisible et authentique. En terme de logements, on y trouve quelques options intéressantes types locations de maison de divers standings.
A 10 minutes en taxi de là, Punta de Los Remedios et sa plage de tout beauté propose quelques hébergements genre glamping et hôtels romantiques. Ici la vie s’écoule loin de l’agitation de Palomino, au rythme des sorties de pêche, mieux vaut savoir parler espagnol.
Capitale de la Guajira, Riohacha n’a pas grande valeur touristique, 3 heures m’ont largement suffi pour faire le tour de ses principaux sites d’intérêt. Elle est connue comme étant le point de départ des excursions dans le désert et pour ses conditions de vents et ses eaux paisibles appréciés des kitesurfeurs et notamment des débutants (bons instructeurs et prix plus abordables qu’à Cabo de La Vela).
Ses environs offrent quelques belles destinations pour une excursion d’une journée : Mines de sel de Manaures, Mayapo une plage de sable blanc que je trouve superbe ou encore Le Sanctuaire de faune et flore de Los Flamencos abritant une belle population de flamants roses et autres espèces d’oiseaux.
On y trouve des hôtels de milieu de gamme et des auberges de jeunesse et quelques bons restaurants.
En raison de sa proximité avec la frontière vénézuélienne propice aux marchés illicites, je te conseille d’éviter certains quartiers et toute sortie nocturne.
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Visiter La BAJA Guajira
Des terres fertiles et une richesse culturelle.
Partie méridionale de La Guajira, la Baja Guajira est la partie la plus fertile de La Guajira en raison d’un réseau hydrique bien développé. Elle est aussi un centre d’élevage productif. La municipalité principale est Barrancas sur les rives de la rivière Ranchería.
C’est dans La Baja Guajira qu’est né le Vallenato un genre musical unique qui mélange influences indigènes, africaines et européennes, illustrant parfaitement la richesse du métissage du peuple colombien. Le Vallenato a été déclaré patrimoine culturel immatériel de l’humanité en 2015.
L’un des joyaux de cette partie méridionale de La Guajira est Los Montes de Oca une réserve forestière constituée d’une forêt tropicale sèche longue de 25 kilomètres servant de frontière entre Colombie et Venezuela et connues pour ses eaux turquoises.
Tu dois absolument y aller avec un tour car il y a eu plusieurs incidents de vol.
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Où dormir à La Guajira
La rusticité du désert et le confort d’un hôtel de la côte.
La ranchería est une auberge rustique traditionnelle du désert de La Guajira. Tu auras le choix entre un simple hamac (l’option la moins chère et la plus commune), un “chinchorro” un hamac plus spacieux typique des habitats Wayuú ou un lit standard.
Ne t’attends pas au grand luxe, il n’y a pas de climatisation, l’électricité est souvent coupée la nuit et il peut y avoir des problèmes d’approvisionnement en eau. Parfois tu n’auras droit qu’à un mélange d’eau douce et d’eau salée. Mais crois moi après ta journée d’exploration, tu dormiras divinement bien bercé par le souffle du vent du désert et les bruits de mastication des chèvres.
Si tu veux te détendre et profiter d’un peu plus de confort après ta visite dans le désert, tu peux opter pour un hôtel boutique sur la plage. Le village côtier populaire de Palomino dispose d’un large éventail d’hotels, avec ou sans air conditionné, dans une gamme de prix allant de l’économique au haut de gamme. Parmi eux, le Aite Eco Resort et le Coconuco.
La plage de Mayapo, à une quarantaine de kilomètres de Riohacha, offre également des hôtels de plage de luxe, comme le Aiwa Hotel.
En général, ces hôtels n’offrent pas un excellent rapport qualité-prix – je préfère ceux qui se trouvent près de Tayrona.
Une partie du début de la Guajira se trouve au pied de la Sierra Nevada de Santa Marta, où vivent de nombreuses communautés indigènes qui entretiennent une relation profonde avec la nature. Cette particularité a attiré de nombreux instructeurs de yoga et de méditation, ainsi que la construction d’hôtels qui promeuvent ce type de mode de vie.
L’un des hôtels les plus connus dans le coin est l’hotel One Santuario. Il y a également plusieurs retraites qui sont organisées à l’hotel Chapolin.
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Manger et Boire
Les spécialités de La Guajira.
Il faut que tu goûtes à la cazuela de marisco. Un plat succulent, que l’on trouve sur la côte, composé d’un mélange de fruits de mer cuits dans une marmite en pierre avec une sauce crémeuse (souvent avec du fromage) et infusée aux herbes locales. Crois-moi, c’est divin ! Lors de ton passage à Riohacha, je te recommande vivement d’aller à La Casa del Marisco pour savourer ce délice culinaire.
Parmi les plats les plus courants de la cuisine Wayuú on trouve “el friche” fait à base de viande de chèvre déchiquetée bouillie puis frite et servie avec de l’igname ou des crevettes et du riz haché.
Dans La Guajira, le ragoût est un mode de cuisson traditionnel aussi bien pour les viandes que pour les poissons (pescados guisados). Les viandes les plus consommées sont la chèvre et le bouc dans la Alta Guajira, la Baja Guajira produit de la viande de boeufs.
Cette boisson fermentée à partir de la canne à sucre est surtout consommée lors des rituels traditionnels du peuple Wayuú.
Tu te doutes bien que tu ne trouveras pas beaucoup de légumes dans le désert de La Guajira. Les plats de poissons et de viandes sont principalement accompagnés de riz, haricots et yucca.
Par contre, il y a d’excellents restaurants végétariens à Palomino.
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SE RENDRE À LA guajira
Et se déplacer dans les environs.
C’est selon moi la meilleure façon de découvrir les sites les plus fabuleux de la Alta Guajira et de découvrir la culture Wayuú. Ces tours de 3 ou 4 jours se font en jeep.
Un tour avec une agence est la garantie d’une bonne organisation y compris en cas d’imprévus, de véhicules entretenus et de bons chauffeurs. Par contre, attends toi à de longs trajets sur des routes en mauvaises états.
Je te conseille de voyager léger en n’emportant que l’essentiel et de savoir faire preuve de flexibilité et de tolérance. Profite des éventuels imprévus, tu auras encore plus de quoi raconter à ton retour.
Des liaisons aériennes quotidiennes sont assurées entre Bogota/Medellín et Riohacha dont l’aéroport est le seul de toute La Guajira. Compte un peu plus d’une heure de vol. Les compagnies aériennes sont Latam et Avianca.
Si tu comptes seulement te rendre dans la zone de Palomino, tu peux aussi envisager d’atterrir à Santa Marta—il y a beaucoup plus de vols. L’aéroport se trouve à environ 2h15 du village.
Plusieurs compagnies de bus assurent des liaisons régulières entre Santa Marta et Riohacha (3 heures) et Cartagena et Riohacha (7 à 8 heures). J’aime bien Rapido Ochoa, Copetran, Expreso Brasilia et Unitransco.
Dans La Guajira, les bus empruntent l’unique axe routier qui longe la côte Caraïbes. Les temps de trajet sont plutôt courts, un bus direct relie Riohacha à Santa Marta en 3h. Compte 1h30 entre Palomino et Riohacha.
Tu peux arrêter un bus sur le bord de la route en faisant signe au chauffeur. Sache que cela ne fonctionne pas avec certaines grosses compagnies, mais dans l’ensemble c’est assez facile.
Si tu n’as le temps ou l’envie d’attendre le bus, tu peux prendre un taxi partagé. Généralement ils partent dès qu’ils ont 3 passagers. C’est un bon plan pour faire Palomino – Dibulla ou Palomino – Riohacha ou dès que tu quittes Riohacha. Par contre, ce n’est pas pratique si tu voyages avec de gros bagages.
Si tu décides de voyager seul dans La Guajira, il y a des “jeeps partagées” qui permettent d’aller à Cabo de La Vela et Punta Gallinas. Bien que ce soit l’option la moins chère, les chauffeurs ne sont pas toujours les plus expérimentés et leurs véhicules ne sont pas toujours les mieux entretenus. Attention aux pannes.
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conseils pour la guajira
Quelques petites choses à savoir pour bien préparer ton aventure dans La Guajira.
De manière générale tu peux voyager dans La Guajira en toute sécurité. Je te déconseille cependant d’y aller seul avec une voiture de location. Tu risques de te perdre et tu ne sauras pas comment t’y prendre avec les Wayuú.
N’oublie pas que tu es dans le département le plus pauvre de La Colombie, évite de te promener seul la nuit en dehors des agglomérations. A Riohacha, fais tes excursions en journée et ne promène pas dans la ville la nuit, sa proximité avec le Vénézuela l’expose à des trafics illicites qui attirent des gens peu fréquentables.
Sache aussi que dans le désert de La Guajira il n’y a pas de poste de police et que ce sont les Wayuú qui administrent tout et règlent les problèmes en appliquant leur propre loi. La communauté est très soudée.
Personnellement, je n’ai jamais eu le moindre problème durant mes 4 voyages dans La Guajira (seul ou avec une agence). Je te recommande de passer par une agence locale.
De nombreuses agences proposent des tours dans La Guajira incluant les mêmes sites mais dont la qualité du service peut énormément varier – crois-moi, je l’ai appris à mes dépens !
Certaines agences opèrent sans autorisations appropriées (et donc sans assurance).
Voici les critères essentiels à tenir en compte avant de choisir ton agence :
- Des voitures robustes types 4×4 et bien entretenues, avec la climatisation si possible.
- Des chauffeurs expérimentés et respectueux de la sécurité de ses passagers. S’ils sont sympathiques, c’est encore mieux, ils te serviront de guides.
- Un programme clair avec une logistique maîtrisée y compris en cas d’imprévus et un bon réseau de contacts locaux.
- Une démarche touristique responsable et durable mettant en avant la culture Wayuú.
- Un forfait précis détaillant l’essentiel tel que l’eau, le type d’hébergement (hamac, lit) et les repas prévus.
Il y a très peu de distributeurs automatiques de billets à La Guajira et les paiements par carte sont soumis à des frais supplémentaires.
Pense à retirer suffisamment d’argent liquide de préférence en petites coupures, tu en auras besoin pour acheter boissons et souvenirs tels que le fameux mochila Wayuú, un sac confectionné par les femmes de la communauté.
Retire de l’argent à Santa Marta avant de te rendre à Palomino et retire de l’argent à Riohacha avant de te rendre dans le désert de la Guajira.
Voyager léger et intelligemment, tel est le secret de ton voyage si tu pars explorer La Guajira. Donc oublie les sacs géants qui ne feront que te poser problème et opte pour un sac à dos qui te permettra de transporter facilement l’essentiel.
Parmi les basiques n’oublie pas :
- Vêtements confortables (chemises légères à manches longues pour te protéger du soleil et du sable), un petit pull pour le soir et chapeau ou casquette.
- Une lampe frontale et une batterie externe si tu pars en excursion dans La Guajira (l’électricité sera rare la nuit).
- Médicaments de base (Imodium).
- Crème solaire et répulsif insectes.
Découvrir le désert de la Guajira est synonyme de longs trajets en jeep dans un environnement aux conditions désertiques exigeantes, il est donc essentiel d’être en forme pour se lancer dans cette aventure. Par ailleurs, même une agence des plus rodées n’est pas à l’abri d’un imprévu, alors la patience est de mise. Et rappelle toi que les imprévus ajoutent du piment à ton expérience.
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